Temps de lecture : 2 minutes Vous le savez, l’iso 9001 et ses filiales (EN 9100, ISO 45001, …) ont pour exigence de définir les rôles, responsabilité et autorité au sein de l’organisation. Cette exigence se traduit généralement par la définition des liens de subordination, lesquels liens de subordination sont matérialisés par un organigramme hiérarchique. Ce qui est classique en termes d’organisation. Mais d’un point de vue fonctionnel et opérationnel, comment s’organise la relation entre le siège et ses filiales ?
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Si le lien de subordination entre le siège et ses filiales est évident d’un premier abord. Les liens fonctionnels, quant à eux, sont maintenant définis au travers des processus et des interactions entre les différents processus constitutifs des différentes chaines de valeur d’une organisation…
Mais alors qu’en est-t-il de la relation de délégation entre le siège et ses filles ?
L’analyse du terrain nous propose au moins deux options de management de cette relation.
– Une organisation très centralisée. L’essentiel des décisions est pris en « haut » et le terrain est en charge d’appliquer. Le pilotage et les indicateurs sont centralisés.
– Avantages/Inconvénients de l’organisation centralisée : ce mode de gouvernance assure généralement un bon niveau d’efficacité. Cependant à terme, le risque est de confronter l’entreprise à son plafond de verre et de ne pas tenir compte du contexte terrain des filiales.
Une organisation basée sur le principe de subsidiarité et son corolaire le principe de suppléance se définit ainsi
– Le principe de subsidiarité est une maxime politique et sociale selon laquelle la responsabilité d’une action, lorsqu’elle est nécessaire, doit être allouée à la plus petite entité capable de résoudre le problème d’elle-même.
– Il va de pair avec le principe de suppléance, qui veut que quand les problèmes excèdent les capacités d’une petite entité, l’échelon supérieur a alors le devoir de la soutenir, dans les limites du principe de subsidiarité.
– Avantages/Inconvénients de ce mode de gouvernance : il est plus compliqué à mettre en œuvre, garantit à terme plus d’efficience et plus d’agilité à l’organisation concerné…
Le conseil d’Itérative : quel que soit votre choix, faites en sorte qu’il soit clair. Une position « médiane » comporte un risque important de n’obtenir que les effets inefficaces de ces deux options.
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