Management QSE :

Management QSE : "HALTE A LA DICTATURE DOCUMENTAIRE"

Historiquement, dans les années 30,  le « contrôle qualité » devient une « discipline » grâce notamment à l’apport des outils mathématiques dans le domaines du contrôle statistique.
Le second conflit mondial, qui permit à la recherche appliquée et à l’industrie de faire des avancées très significatives dans les industries militaires, nucléaires ou aéronautiques, va faire évoluer l’approche de la qualité. C’est au Japon, sous la houlette des américains, que naitra le concept d’ « assurance qualité » dans les année 50…

Ce concept d’assurance qualité est basé sur une documentation très précise de l’art et la manière de réaliser les activités et les tâches, et ce avec une granularité relativement très fine :


L’assurance qualité permet à une organisation d’obtenir la confiance de ses clients par sa capacité à satisfaire le niveau de qualité désiré… avec en point d’orgue, une approche très « normée » de l’activité de « libération des produits »… Efficace,  car ayant fait ses preuves, l’assurance qualité révèle néanmoins ses limites pas son incapacité à favoriser l’efficience (meilleur compromis entre la consommation des ressources utilisées et la  production d'un résultat) des organisations. L’analyse révèle une baisse des résultats opérationnels dans un environnement « très normé » que l’on qualifiera, en mode péjoratif,  d’organisation « administrative »  (cf. : graphique ci-après)
?Ce tassement de l’efficience organisationnelle s’explique principalement par quatre facteurs :  
o    L’alourdissement du fonctionnement interne
o    La surconsommation de ressource allouée au déploiement d’un système documentaire « surdimensionné »
o    La difficulté à maintenir un tel système documentaire
o    Le rejet de cette « surabondance » de documents et de règles par les acteurs du système


Qu’en est-il pour cette première moitié de XXIème siècle :

o    Les organisations sont toujours en recherche d’efficience, laquelle recherche se traduit par des besoin accrus  en matière d’agilité, de souplesse, d’adaptabilité, d’anticipation…
o    Les organisations intègrent plus généralement l’influence du facteur humain (meilleur compromis entre la pression professionnelle, la latitude décisionnelle et le support social / prise en compte des facteurs d’influence)

? Pour autant, les auditeurs restent « très demandeurs » de procédures car celles-ci conservent un caractère « rassurant » notamment dans une perspective de certification d’une organisation…

Question : la réflexion doit-elle être résolue à partir de l’équation suivante : « Tout  documenter VS Ne rien documenter » (en intégrant la notion de prise de risque car allant à l’encontre du principe d’assurance qualité)

Dans sa version 2015, le référentiel Iso 9001 nous précise clairement ses exigences (extrait) :

Pour plus d’information : n’hésitez pas à prendre contact avec notre Gérant :  Jacques Perrin au  06 29 36 84 94, nous sommes là pour vous aider et vous accompagner




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